Utente:Katxis

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Non parlo niente di monegasco. Tutti gli articoli che ho fatto sono estate fate con l'aiuto di un dizionario e della grammatica della lingua. Si trovate qualunque errore nei miei testi, per favore, corregetili.


Munegascu

Zenà Fevrà Marsu Avrì Màgiu Mese de San Giuane / Giügnu Mese d’a Madalena / Lüyu Austu Setembre Utubre Nuvembre Deçembre

Sciença, sciençe natürali, antrupulugia

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Stòria de Mùnegu[modìfica | modìfica wikitèsto]

Mu̍negu ë ün principatu independente. Despœi de 1297 ë stáu ligau ai Grimaldi.

Preistoria[modìfica | modìfica wikitèsto]

Monaco a servi d’abri aux premiers habitants de la région à partir de la fin du paléolithique inférieur, environ -300 000 ans. Des ossements d’animaux ayant servi de nourriture à ces hommes préhistoriques ont été retrouvés dans une caverne du Jardin exotique1. Des fouilles ont également révélé la présence d’un bassin dans la grotte de l’Observatoire et dans la grotte du Prince2. La présence humaine est attestée au Paléolithique moyen (- 50 000 ans) et au Paléolithique supérieur (- 20 000 ans). À partir de 1500 av. J.-C., les traces d’œuvre d’art (gravure, sculpture) sont trouvées dans des grottes. Les sépultures funéraires, individuelles ou collectives, deviennent de plus en plus nombreuses. La sépulture des sujets dits « de Grimaldi » date de cette époque et contient une femme et un adolescent.

Antichità[modìfica | modìfica wikitèsto]

D’après l’historien Diodore de Sicile et le géographe Strabon, les premiers habitants sédentaires étaient des Ligures qui ont émigré depuis la ville de Gênes en Italie. Cependant, l’ancienne langue ligure, non issue des langues indo-européennes, n’était apparentée ni au dialecte italien parlé aujourd'hui par les habitants de Ligurie, ni au monégasque moderne. Cette avancée à Monaco aurait pu être l’ouverture maritime d’un peuple ligure situé à l’intérieur des terres.

Les Phocéens de Marseille (alors Massalia) ont fondé la colonie de Monoïkos au VIe siècle av. J.-C. à l’endroit où se trouve maintenant Monaco. Monoïkos était associée à Hercule, adoré sous le nom Hercules Monoecus. D’après les travaux d'Hercule mais également selon Diodore de Sicile et Strabon, les Grecs et les Ligures ont rapporté qu’Hercule était passé par la région.

Après la Guerre des Gaules, Monoecus, où Jules César s’est arrêté en se rendant en Grèce, est passé sous contrôle romain au sein de la province de Gaule narbonnaise. Dans L'Énéide (VI.831), le poète Virgile mentionnait déjà le rocher de Monaco. Le grammairien Maurus Servius Honoratus affirme que le terme Monaco dérive de cette origine : « dictus autem Monoecus vel quod pulsis omnibus illic solus habitavit » (« Hercule a écarté tout le monde et vivait là seul ») et « vel quod in eius templo numquam aliquis deorum simul colitur » (« dans son temple, nul autre dieu n’est vénéré au même instant »). Le nom du port de Monaco est également mentionné dans L'Histoire naturelle de Pline l'Ancien (III.V3) et dans les Historiae de Tacite (III.XLII) lorsque Valens, soutien de Vitellius a été forcé d’y faire escale « Fabius Valens e sinu Pisano segnitia maris aut adversante vento portum Herculis Monoeci depellitur » (« Fabius Valens, à la sortie du golfe de Pise, fut, par une mer calme ou un vent contraire, forcé [de faire relâche] au port d'Hercules Monoecus »)4.

Age Mesan[modìfica | modìfica wikitèsto]

Monaco est resté sous domination romaine jusqu’à l’effondrement de l’Empire romain d'Occident en 476. L’endroit a ensuite été occupé et ravagé par les Sarrasins et diverses tribus barbares. Alors que Monaco était pratiquement dépeuplé, les Sarrasins en furent expulsés en 975 et au XIe siècle, l’endroit était de nouveau peuplé par des Ligures (cette fois, il faut comprendre des populations parlant une langue romane du nord de l’Italie).

Ün 1191, ř'imperatù roman aleman Anrì sestu concéda la' suvra Mùnegu a řa vila de Zena ün Italia, d'unde sun uriginari i Ligüri. U 10 de de giügnu d'u 1215, ün destacamentu de Gibelins menai da Fulco de Castello cumençà řa cunstrüçiun d'üna furtessa sciǜ a roca de Mùnegu. Cette date marque le début de l’histoire moderne de la Principauté de Monaco.

Achësta furtessa, eřa stratègica per les Gibelins per cuntrulà a regiun cuntra des Guelfes. Ils établirent également des habitations à la base du Rocher afin d’appuyer les garnisons. C'est pour attirer les habitants de Gênes et des villes environnantes, qu'ils offrirent des terres et exonérèrent de taxes les nouveaux arrivants.

Epuca muderna[modìfica | modìfica wikitèsto]

Munegu utenge ufiçialamente a so' independença d'u Santu Imperu Ruman e devegnì ün pruteturatu spagnolu ün 1524. Cuma imperatù d'u Santu Imperu Ruman Carlu qintu recunusce a suvranità de Mùnegu, e ghe cuncede a so' pruteçiun cumu re catolicu spagonlu. Carlu qintu, ün signu d'amiciçia per u so nœvu aliau, fà ün breve segiurnu ün Mùnegu d'u 5 au 9 d'austu d'u 1529 qandu andava a Italia per reçeve a curuna d'imperatù d'i Rumani d'u Papa[1].

Le Template:Date, le traité de Péronne est signé entre le roi de France Louis XIII et Honoré II de Monaco[2] · [3]. Ce traité, qui comporte 14 articles, met fin au protectorat espagnol et replace la Principauté de Monaco dans la mouvance française. En compensation de la confiscation de ses biens en pays espagnol Louis XIII octroie à Honoré II les fiefs du Valentinois, de Carladès, des Baux, de Saint-Rémy.

Le 14 février 1793, la Convention nationale décréta que « la ci-devant principauté de Monaco est réunie au territoire de la République (française), et fait partie du département des Alpes-Maritimes ».

Sous le Consulat, la loi du 28 pluviôse an VIII (17 février 1800), loi « concernant la division du territoire de la République et l'administration[4] », érigea Monaco en chef-lieu du deuxième arrondissement du département des Alpes-Maritimes, comprenant les cantons de Monaco, Menton, Perinaldo, Briga et Sospello.

A vila è dopu piaçà suta pruteturatu d'u Regnu de Sardegna par le congrès de Vienne jusqu’en 1860. Enfin, en 1861, un traité franco-monégasque assure la suvranità de Mùnegu.

[[Fichier:Frontiere Monaco.gif|thumb|upright=1.6|La principauté de Monaco (en orange) avec les Villes libres de Menton et Roquebrune (en bleu) en 1848.]] En 1847, la principauté de Monaco occupait une superficie totale de Template:Unité jusqu'à la frontière italienne et comprenait trois communes : Monaco (Template:Nombre), Roquebrune (Template:Nombre) et Menton (Template:Nombre). La partie la plus vaste et la plus riche de la principauté était la plaine mentonnaise, avec ses cultures d'agrumes et d'oliviers, le commerce extérieur reposant essentiellement sur les exportations d’huile et de citrons de Menton[5]. À la suite d'une taxe sur les agrumes que le prince [[Florestan de Monaco|Florestan Template:Ier]] voulait imposer et aux révolutions de 1848, Menton et Roquebrune proclamèrent la déchéance des Grimaldi et se proclamèrent « villes libres » sous la protection du royaume de Sardaigne. Marqué par ces révoltes contre l'impôt et afin de pallier le manque de ressources financières aggravé par la perte de Menton et Roquebrune, le prince Charles III successeur de Florestan Template:Ier eut l'idée, sur les conseils de sa mère Caroline Gibert, d'autoriser, en 1856, la création de maisons de jeux et de casino sur le territoire monégasque (interdits dans les pays voisins), afin de permettre à la principauté, en s’enrichissant, de se développer rapidement mais le premier casino ouvert en 1857 ferma rapidement, faute de clients. En 1860, Menton et Roquebrune votèrent leur rattachement à la France, qui fut entériné par le traité franco-monégasque de 1861 qui prévoyait une dotation de la France pour la principauté de quatre millions de francs or. La principauté de Monaco eut ainsi sa surface réduite de plus de 90 % et se vit privée de ses principaux revenus agricoles[6].

[[Fichier:Monacoc1890.jpg|thumb|left|Le Rocher de Monaco en 1890]] En 1863, Charles III fit rouvrir le casino et accorda le privilège de l’exploiter à l'homme d'affaires François Blanc, lui offrant la présidence de la Société des bains de mer qu'il venait de créer. Charles III interdit aux sujets monégasques de jouer dans ce casino, loi toujours en vigueur. En 1866, le quartier des Spélugues (où se trouvait le casino) prit le nom de Monte-Carlo en hommage au prince souverain. Enfin, en 1869, la principauté pouvant suffire à ses besoins, Charles III supprima les impôts personnels, fonciers et mobiliers, ce qui entraîna une intense activité de construction. Dès lors, ce paradis fiscal et son climat méditerranéen attirèrent le gotha international dont la venue fut favorisée par le développement de la ligne de chemins de fer Paris-Lyon-Méditerranée, de l'hôtellerie haut de gamme (tel l'Hôtel de Paris Monte-Carlo) et la présence de cocottes (la Belle Otero, Émilienne d'Alençon, Liane de Pougy) pour ces messieurs[7].

Le prince de Monaco disposait des pleins pouvoirs (monarchie absolue) jusqu’à la Révolution monégasque qui éclate en 1910 et l’octroi de la constitution de 1911, qui fait du pays une monarchie constitutionnelle. En juillet 1918, un Traité d'amitié protectrice[8], accordant une protection limitée de la principauté par la France est signé entre les deux pays. Le traité fait partie du traité de Versailles et établit que le petit État, devenu une sorte de protectorat, devra s’aligner sur les intérêts politiques, militaires et économiques de la France. Cela évite que si l'unique héritier direct, Louis II de Monaco, meurt (il est à l'époque engagé dans la Première Guerre mondiale), le trône ne tombe dans les mains d'un duc allemand, Guillaume II de Wurtemberg-Urach : le traité prévoit ainsi que pour être prince de Monaco, il faut être français ou monégasque. Louis II de Monaco « adopte » en 1919 sa fille naturelle Charlotte de Monaco pour la rendre dynaste. Ce sont des descendants de Charlotte de Monaco qui règnent à Monaco depuis 1949[9]. Ce traité d'amitié fut complété par la convention du 28 juillet 1930, relative à la coopération administrative entre la République française et la Principauté de Monaco. Cet accord, sous couvert de réciprocité et de collaboration, réservait les hauts postes gouvernementaux et administratifs monégasques à des ressortissants français[10].

Seconde Guerre mondiale[modìfica | modìfica wikitèsto]

L'arrivée des troupes italiennes autour de Monaco en juin 1940 inquiète le prince Louis II à titre personnel. Il craint une annexion et une destitution. Il se rapproche du gouvernement de la France, le régime de Vichy. C'est donc à Pierre Laval et au maréchal Pétain, qui a reçu les pleins pouvoirs de l'Assemblée Nationale le 10 juillet 1940 - et dont il a embauché l'ancien aide de camp - qu'il demande, avec succès, assistance. Le prince Louis II fait passer de son propre chef, sans contrainte ni de l'Allemagne nazie ni du régime pétainiste, des lois antisémites visant au recensement des juifs. Monaco est occupée par les Italiens en novembre 1942.

Vis-à-vis de l'Allemagne, la principauté de Monaco exercera envers le Troisième Reich ce qui sera nommé plus tard une étrange neutralité. Des liens financiers avec les nazis existaient depuis 1936, quand le ministre des Finances allemand Hjalmar Schacht avait rendu visite au prince pour mettre en place un montage financier à partir de banques allemandes. L'intérêt à avoir des liens financiers était mutuel. La prospérité et l'indépendance de la principauté en profitaient. Le Reich diversifiait ses interfaces de financement. Par la Suisse et par Monaco, l’Allemagne nazie a réussi à contourner les embargos imposés par les Alliés. Le Template:Date, Louis II offre un banquet au consul d'Allemagne ; il nomme le docteur Bernhard Bodenstein, un membre du parti nazi, consul de Monaco à Berlin. L'occupation allemande commence en septembre 1943, en remplacement des Italiens. Des Allemands prennent des participations dans la Société des bains de mer (SBM).

La principauté de Monaco participe à la politique de déportation des juifs menée par l'Allemagne nazieTemplate:Refnec. Des projets d'implantations militaires sont élaborés, notamment une station de détection de sous-marins, et un atelier torpilles. Quelques rares blockhaus sont construits, mais la présence allemande est relativement discrète. Ce qui permet au Prince, à l'arrivée des Américains, de se proclamer « neutre ». Le général Frederick le rencontre, et admet le principe. Les troupes américaines sont interdites d'accès à Monaco. Quelques rares spécialistes sont néanmoins admis, et l'un d'eux note : Template:Citation

Le 28 septembre 1944, le prince héréditaire Rainier s’engage dans l’armée française au Template:7e régiment de tirailleurs algériens des troupes d’Afrique française et prend part aux opérations de la campagne d’Alsace. Il est décoré de la Croix de guerre 1939-1945 et de la Bronze Star américaine. En 1947, il est nommé chevalier de la Légion d'honneur à titre militaire.

Histoire récente[modìfica | modìfica wikitèsto]

Le prince Rainier III accède au trône après la mort de son grand-père le prince Louis II (le stade de l’AS Monaco porte d’ailleurs son nom), en 1949. Souhaitant une souveraineté totale pour sa principauté, il se rapproche des États-Unis, veut que le traité de 1918 soit réaménagé et que la convention de 1930, qui octroie à la France des prérogatives considérables dans la gestion des affaires monégasques, soit renégociée, ce qui provoque des tensions avec le gouvernement français[11].

1962 est une année chargée : sur fond du référendum sur l'élection au suffrage universel du président de la République française, proposé par le Général de Gaulle, une crise politique et financière oppose Monaco à la France durant l'automne. Le contrôle de l'État français sur la radio et la télévision est gêné par l’Ordonnance Images et Sons proclamée le 14 janvier 1962 par le prince Rainier III, permettant à Radio Monte-Carlo (RMC) et Télé Monte-Carlo (TMC) d'échapper à leur contrôle financier indirect par l'État français, effectif depuis 1955[12]. En effet, l'ordonnance offrait aux fonds d'investissement monégasques la possibilité de reprendre le contrôle de leurs deux moyens d'information, dont la couverture régionale, limitée, pouvait cependant permettre de véhiculer des idées différentes de celles de l'ORTF. Dans la nuit du 23 au 24 janvier, Rainier congédie brutalement le Ministre d'État de Monaco, Émile Pelletier alors que ce dernier était venu lui demander le retrait de cette mesure unilatérale. Le 25 janvier, Rainier abroge cette ordonnance mais le gouvernement français se saisit de l'incident de ce limogeage pour entamer une épreuve de force avec la principauté, le véritable contentieux n'étant pas cette ordonnance mais son statut fiscal régi par la convention du 23 décembre 1951 (convention de voisinage et d'assistance administrative mutuelle en matière douanière et fiscale)[13].

Malgré des concessions de la part de la principauté, la France rompt le 3 avril les négociations commencées le 23 mars relatives à l'imposition fiscale et lève tous les intérêts de la principauté. Le délai de préavis de six mois pour la caducité de la convention de 1951 qui court du 12 avril 1962 vient à expiration le 11 octobre, aussi dans la nuit du 12 au 13 octobre 1962, la France décide d'un « blocus de Monaco » et envoie une escouade de douaniers[12] : l'union frontalière est rompue et les entrées à Monaco sont contrôlées par des douaniers ; l'affranchissement du courrier est revu à la hausse alors que les privilèges pour les Français habitant Monaco sont réduits à néant. Finalement, les négociations reprennent et permettent la rédaction et l'adoption le 17 décembre 1962 d'une nouvelle constitution pour la principauté[12], abolissant la peine de mort, autorisant le vote des femmes et mettant en place une cour suprême garantissant les libertés fondamentales. Des conventions (de voisinage, fiscale, douanière, postale, téléphonique, pharmaceutique...) sont signées en bloc le Template:Date : Monaco récupère l'ensemble de ses privilèges, ainsi qu'un renforcement de sa souveraineté, et ce malgré de très importantes concessions surtout d'ordre fiscal concernant les revenus des sociétés du Rocher (impôt sur les bénéfices pour les sociétés qui réalisent plus de 25 % de leur chiffre d’affaires hors de Monaco), les opérations financières monégasques et l'imposition des Français vivant dans la principauté, sauf s’ils peuvent justifier de cinq ans de résidence[12]. Le film Grace de Monaco d'Olivier Dahan (2014) se concentre sur cette crise.

En 1982, la principauté est endeuillée par la mort soudaine de la princesse Grace de Monaco, épouse de Rainier III et mère de l’actuel prince de Monaco (Albert II), victime d’un accident sur la D37 (qui relie La Turbie à Cap d'Ail). Sa fille Stéphanie de Monaco survit à cet accident.

En 1993, Monaco devient officiellement membre des Nations unies.

En 2004, la principauté de Monaco rejoint le Conseil de l'Europe après de nombreuses tractations et une modification de la loi électorale rendant systématique une représentation de l’opposition au Conseil national par un mode de scrutin ayant une composante proportionnelle.

À la mort du prince Rainier III, survenue le Template:Date, c’est son fils Albert II (né en 1958), jusque-là prince héréditaire et marquis des Baux, qui devient prince souverain. Les cérémonies marquant son avènement se sont déroulées le 12 juillet 2005, celles de son intronisation officielle le 19 novembre 2005.




Prima Gherra Mundiala[modìfica | modìfica wikitèsto]


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Parlâa in {{{parlâa in}}}
Region {{{region}}}
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Famiggia lengoistega {{{famiggia }}}
Léngoa ofiçiâ de {{{ofiçiâ }}} ({{{codeiso}}})
  1. Erô inte nòtte: Marcatô <ref> non vallido; no l'è stæto indicou nisciun testo pe-o marcatô ht
  2. Germain-Antoine Guyot, Traité des droits, fonctions, franchises..., 1787, Template:P.138
  3. M. Ulino, L'Età Barocca dei Grimaldi di Monaco nel loro Marchesato di Campagna, Giannini editore, Napoli 2008.
  4. La loi du 28 pluviôse an VIII (17 février 1800) - CRDP de Champagne-Ardenne
  5. Template:Ouvrage
  6. Philippe Delorme, « Monaco et les princes de Grimaldi », émission Secrets d'histoire sur France 2, 11 septembre 2012
  7. Template:Article
  8. Texte de ce traité.
  9. Stéphane Bern, « Monaco et les princes de Grimaldi », émission Secrets d'histoire sur France 2, 11 septembre 2012
  10. Stéfanie Mourou, op. cité, Template:P.
  11. Stéfanie Mourou, op. cité, Template:P.
  12. 12,0 12,1 12,2 12,3 Jean-Rémy Bezias, Les Alpes-Maritimes et la crise franco-monégasque de 1962, publié par le Centre de la Méditerranée moderne et contemporaine
  13. Template:Ouvrage